Le commencement, l'amorce
C'est le plus difficile à trouver
Devant un blog destiné à la force
De dire, d'écrire la pure pensée.
D'abord il faut se débarasser de l'ambition
D'être lu et l'espoir que les idées soient partagées
Par les uns ou les autres, tous en pérdition
Et les mots sont là pour leur développement trouver.
Il y a, il est, de la matière à écrire
Pas chez moi, pas ailleurs,... juste ici.
Car les hommes ont perdu tout le pouvoir de dire
Dans ce monde perdu dans le pouvoir de l'argent : c'est dit.
Voilà, l'idée à prouver comme une graine jetée en terre
Avec la grande lueur d'un monde meilleur.
Je n'ai pas la force de m'engager comme un grand pamphlétaire,
Mais la tâche en valeur est incontournable car grand est le mahleur !
L'avenir nous regarde dans sa vacuité à remplir
Ce grand vide fait peur mais à chaque seconde qui coule
Nous bâtissons cette grande demeure toujours en pire
Jamais en arrêt pour voir ce qui en découle,
Alors posons nous et regardons...
L'immense passé est mort dans la perte de valeurs,
Et ce qui compte c'est courrir toujours plus vite sans réflexion...
Avec moi, observons où nous sommes et pas ailleurs.
Si un triste constat ne peut nous épargner
Dans cette vie et cette limite de l'espoir,
Alors à quoi bon se battre pout gagner ?
Juste croire encore à nos enfants, pour voir.
Je ne dirai pas ce que chaque être humain est capable de penser
De ce que nous avons comme un déchêt purulant
qui se laisse voir à chaque coin de l'esprit qui ne sait que pleurer;
Je veux simplement crier à tous les vents.
J'ai perdu avec tous mes semblabes
La valeur de la pensée...Alors réveillons-la
Et disons haut et fort au-delà de l'innommable
Pour les censeurs de tous les bords et souvent près des médias :
Ce qui fait la grandeur de l'Homme.
Un peu de réflexion pour son prochain
Car nous sommes tous dans la même douleur de l'âme
Et on nous offense dès que l'on se réveille le matin.
Ma pensée n'a pas de poids véritable
Face à toute l'information disponible,
Mais l'Homme ici, doit faire le choix de l'inévitable
Car sinon nous courrons à la fin probable !
J'entends d'ici, déjà, la critique
Mais si je n'ose pas, qui osera ?
Je ne veux pas finir comme un invendable mystique,
Mais en réveilleur de mes semblables, qui aura : L'AURA !